Par cet amendement, Michel Raison et ses collègues de l'UMP cosignataires montrent clairement que cette majorité n'entend pas remettre un jour en question le caractère « imprivatisable » de la Poste. Je crains toutefois qu'il ne donne à tort le sentiment que des fonds privés pourraient entrer dans le capital alors que nous avons souhaité donner toutes les garanties que cela ne se produira jamais.