Bien que ce projet ne vise nullement à privatiser la Poste, nos concitoyens ont été abusés par la formulation de la question qui leur a été posée lors de ce que l'on a curieusement appelé « votation citoyenne », le nombre des participants étant en outre sujet à caution, la CGT n'ayant pas répondu à ma demande de consulter les listes d'émargement.
Quoi qu'il en soit, cet amendement vise à les rassurer en précisant qu'au cas où d'autres que nous décideraient un jour de faire entrer des fonds privés dans le capital de la Poste, l'avis des Français serait sollicité par référendum.