Non, monsieur le président. Nous avons le droit de répondre au président de la commission comme au Gouvernement. J'avais demandé la parole, et vous n'avez pas voulu me la donner, mais je vous rappelle que la parole est de droit en ce cas.
Je souhaite poser une question subsidiaire à celle que vient de poser M. Alain Vidalies. Ne partez pas, monsieur le président de la commission des lois : cela vous concerne !