J'apprécie beaucoup l'humour pince-sans-rire de M. Santini, qui vient d'affirmer que le rôle du CSA est irremplaçable. Mais c'est à mon cher collègue Patrice Martin-Lalande que je décernerai le prix de l'humour, pour avoir parlé d'étendre le champ du CSA. Pensez-vous que personne n'ait remarqué que, dans quelques semaines, si votre texte de loi est adopté, le CSA n'aura plus son mot à dire sur le choix du président des chaînes publiques ?