Qui mieux que le rapporteur spécial des crédits du CSA peut expliquer la situation de cette autorité administrative indépendante ? J'espère, monsieur Martin-Lalande, que vous avez convaincu votre collègue M. Warsmann sur la nécessité de ne pas baisser les crédits du CSA – nous ne l'avons malheureusement pas constaté lors du vote précédent –, voire de les augmenter. Vous venez, en effet, de faire la démonstration que le CSA aura un rôle accru dans l'avenir, compte tenu de l'évolution des médias. Je partage votre analyse sur la nécessité d'augmenter les crédits du CSA et d'en assurer la pérennité. Il faut donner au CSA les moyens de s'inscrire dans l'avenir de l'audiovisuel français.