Que la secrétaire d'État à l'environnement se prononce en faveur des biocarburants de seconde génération, je le comprends aisément ; à sa place, j'aurais certainement adopté la même position. Lorsque ces biocarburants seront produits, je suppose que nous en avantagerons l'utilisation. Mais, pour l'instant, ils n'existent pas encore ; il est donc un peu tôt pour le faire. Mon avis n'est pas négatif, mais, encore une fois, il est un peu tôt : l'usine n'existe même pas, je crois.