Comme vient de le dire Mme Girardin, il ne faudrait pas banaliser les exonérations. Si les chênes truffiers sont exonérés, c'est parce que la truffe est un bien très rare.
Je rappelle en outre que nous avons voté il y a à peine quelques mois une exonération de cinq ans au bénéfice de l'agriculture biologique. Imaginez que nous exonérions pour huit ans l'ensemble des cultures fruitières ou arboricoles.