La seconde illusion à laquelle il faut renoncer consiste en ceci : attendre de la péréquation qu'elle ne s'exerce que de manière verticale, venant entièrement de l'État, et que la péréquation entre les collectivités elles-mêmes, dite horizontale, ne joue plus son rôle. À cet égard, même avec une augmentation de 0,6 % de la DGF dans un contexte économique mondial, européen et national que chacun connaît, les propositions budgétaires qui nous sont faites apparaissent, je le répète, éminemment raisonnables.