Très concrètement, cela signifie que désormais 34 % du personnel du ministère proviennent de la gendarmerie. Comme le ministre de l'intérieur a d'ailleurs eu l'occasion de nous le rappeler, ce rattachement ne remet en cause ni les missions confiées à la gendarmerie, ni la répartition territoriale des compétences, ni le maillage territorial de la gendarmerie.