On me l'a demandé. Je l'ai fait sans aucun problème et M. Dosière aussi, je crois. Nous nous honorerions à montrer que nous gérons avec rigueur les fonds qui nous sont octroyés.
Quatrième remarque : l'année prochaine, nous allons entamer le grand débat sur les retraites. Pensez-vous, mes chers collègues, que l'on puisse expliquer au peuple français qu'il faut – c'est indispensable, tous les gens honnêtes, de quelque sensibilité politique qu'ils soient, le reconnaissent – réformer les régimes de retraite sans toucher à ceux de l'Assemblée nationale et du Sénat. C'est impossible ! Je ne me vois pas voter des réformes indispensables, allant dans le sens de l'incitation au recul de l'âge effectif de départ, si nous ne faisons pas, nous aussi, des efforts.