Enfin, nous disposerons de près de 1,3 milliard d'euros de recettes exceptionnelles en 2010, dont 700 millions par le biais de cessions d'actifs immobiliers, à Paris et en province – je réponds en cela à Louis Giscard d'Estaing, Philippe Nauche, Guy Teissier et Bernard Cazeneuve. Nous avons déjà obtenu plus de 400 millions d'euros de recettes à ce titre en 2009. Plusieurs dossiers sont en cours de négociation en région parisienne et en province, qui viendront abonder ce montant, dont un à Issy-les-Moulineaux, où ce sera conclu dans les jours qui viennent.
La discussion avec la Caisse des dépôts et la SOVAFIM sur un bloc important d'actifs parisien est sur le point de se conclure. Mais permettez-moi de souligner qu'avec Éric Woerth, nous restons très fermes sur la préservation des intérêts financiers de l'État. On se souvient d'un certain nombre d'opérations immobilières dont on considère aujourd'hui qu'elles n'ont pas été forcément des réussites exceptionnelles ! Par conséquent, nous ne conclurons que si les intérêts financiers de l'État sont préservés.