Bien sûr, mais on ne peut pas réduire les montants qui sont mis sur la table pour l'activité partielle à ces seuls 60 millions d'euros.
Enfin, reportons-nous à la situation des années antérieures.
En 2008, l'activité partielle représentait 14 millions d'euros. Les chiffres dont il est aujourd'hui question sont trois fois plus élevés qu'avant la crise. Notre effort paraît raisonnable. Toutefois, soyons clairs, nous ne pratiquerons pas de restrictions budgétaires sur l'activité partielle, et nous ne répondrons pas à une entreprise qui en aura besoin pour garder ses salariés que nous sommes arrivés au bout de nos crédits.