Il ne s'agirait pas de contrats pour qu'elles fassent des bordures de trottoirs, cela elles le feront avec leurs ressources, il s'agirait de contrats qui leur donnent de l'influence, sur le plan culturel ou dans le domaine de l'enseignement supérieur par exemple. Il faut que l'on définisse avec Mme Pecresse – elle y est prête – le type d'enseignement supérieur que l'on pourrait implanter dans les villes moyennes, sans doute des enseignements en lien avec le bassin économique.
Redonner aux villes moyennes des moyens d'influence est l'un des défis de mon ministère. J'espère que nous trouverons, avec l'Association des villes moyennes, des solutions. Celles-ci seront diverses, ce ne sera pas les mêmes partout. En tout cas, je souhaite lancer, dès l'année prochaine, des sortes de contrats – pour le moment, je les appelle ainsi, nous trouverons certainement un nom plus significatif avec l'Association des villes moyennes – qui redonnent de l'influence aux villes moyennes sur leur territoire.