Une fois cette décision prise, il fallait recueillir les opinions de tous dans les départements.
Il s'agit donc d'un temps d'écoute, après quoi nous prendrons ensemble les décisions qui s'imposent. Nous définirons les axes politiques adéquats et nous passerons au temps de l'action.
En effet, personnellement, je ne conçois pas une action sans écoute préalable. Nous allons donc travailler en ce sens et vous êtes tous invités à participer au débat. Je souhaite toutefois que l'on puisse passer très vite à l'action.
Vous nous avez dit par ailleurs que les outils disponibles étaient peut-être trop nombreux. Ils ont le mérite d'exister et ils sont là pour qu'on s'en serve !
Nous venons de lancer une nouvelle série de pôles d'excellence rurale – une initiative qui a plutôt bien fonctionné –, que nous allons jumeler avec les assises des territoires ruraux.
Nous disposons du financement nécessaire pour ces pôles, au moins pour ce qui concerne la part de l'État. Je sais que ce n'est pas toujours la plus importante, madame la présidente du conseil général de la Haute-Vienne.
Je suis, comme vous, élu local depuis longtemps. Je sais donc aussi que cet apport de l'État est essentiel.
Nous veillerons par ailleurs à ce que l'État propose une offre d'ingénierie publique, qui a manqué à la première génération de pôles d'excellence rurale.