Je m'adresse à tous ceux qui ont vocation à constituer une majorité un jour. C'est vous, et personne d'autre, qui tenez entre vos mains le sort de La Poste.
Je remercie le président Jacob, non seulement pour les propos qu'il a tenus ici mais aussi pour la façon dont il m'a accueilli au sein de la commission.
Monsieur Chassaigne, je mettrai toute mon ardeur à vous prouver qu'il faut toujours se méfier du premier mouvement parce que c'est le bon. (Sourires.) Je n'aurai de cesse de vous montrer que vous aviez raison de m'apporter votre soutien, même si, après, vous avez très longuement expliqué que vous en aviez envie mais que vous n'y arriviez pas.