Je vais y venir, monsieur le président.
Apprendrons-nous la mise en place d'une nouvelle stratégie militaire prenant acte, par exemple, de l'impossibilité de sécuriser l'ensemble du territoire afghan et le repli des forces de l'ISAF sur les grandes zones urbaines en lisant les comptes rendus des débats des parlements des pays voisins ?
Cela ne vaut pas que pour la stratégie militaire. Il paraît que la diplomatie française aurait agi et fait pression pour qu'il y ait un deuxième tour à l'élection présidentielle afghane et que l'on reconnaisse les fraudes.