La mesure, judicieuse, méritait d'être améliorée. C'est pourquoi je propose 817 euros mensuels, ce qui n'est qu'une modeste étape pour arriver l'année prochaine, je le souhaite, à 887 euros, seuil de pauvreté défini par l'INSEE.
Il est déjà gênant qu'un pays développé comme le nôtre doive se fixer des étapes pour amener des gens au seuil de pauvreté ; épargnons-nous la mauvaise conscience que susciterait le rejet d'une mesure qui ne coûterait, cette année, qu'un million d'euros !
Ce million ne serait d'ailleurs sans doute même pas consommé entièrement. Et s'il l'était, seul Bercy s'en plaindrait, au moment de vous demander de rendre les crédits non consommés !