Il n'y a pas, dans cet hémicycle, les bons, qui voteraient pour les deux points au 1er janvier, et les mauvais, qui voteraient pour le 1er juillet.
M. le secrétaire d'État a dit qu'il souhaitait pour sa part qu'il y ait trois points et qu'il allait oeuvrer en ce sens. Je veux souligner son honnêteté, car il a ajouté, ce qui tout à son honneur, qu'il ne pouvait pas s'engager au nom du Gouvernement.
Par ailleurs, j'ai bien entendu mes collègues Christian Ménard et Michel Voisin s'interroger en leur âme et conscience. J'ai également entendu François Rochebloine. Moi-même, je me pose des questions. Monsieur le secrétaire d'État, ce n'est pas contradictoire avec ce que je viens d'affirmer, mais si la majorité, c'est-à-dire l'UMP et le Nouveau Centre, tiennent bon à vos côtés, nous serons capables, en 2011, d'obtenir les trois points souhaités.