Sur la guerre d'Algérie, bon nombre de questions restent posées. En écoutant les acteurs du conflit, nous nous sommes rendu compte qu'il faut vraiment créer la Fondation pour la mémoire de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de Tunisie. La parole des acteurs, comme les écrits des historiens, apporteront des réponses. Des associations de harkis, dont j'ai rencontré les représentants il y a quelques jours, continuent de s'interroger. La fondation répondra à leurs questions, comme à celle que nous nous posons encore tous sur ce conflit.