Priorité doit être donnée à la mise en oeuvre de ces deux mesures. Nous procédons à ces revalorisations avec deux soucis : celui de ne pas déséquilibrer la situation des veuves par rapport à celle des anciens combattants les plus modestes, et celui de respecter les équilibres financiers de l'ONAC, auquel nous sommes tous très attachés.
Au vu de ces deux critères, il importe de mesurer au cours de l'année 2010 les effets de la hausse de cinquante points avant d'aller plus loin.