Je veux bien retirer l'amendement, madame la ministre : ce n'est pas la peur du vide conventionnel qui l'a inspiré, mais le fait que les syndicats qui vont discuter de ce secteur optionnel ne sont pas ceux qui ont été désignés par la loi. Celle-ci précise pourtant qu'il faut recréer des corps représentatifs pour engager la discussion.
Je retire donc l'amendement, mais je tiens à ce que l'on prenne en considération la question qu'il soulève, car il est indispensable que ceux qui sont concernés par ce secteur optionnel soient ceux qui vont en discuter.
(L'amendement n° 144 est retiré.)