Si certains prélèvements sont décidés dans le cadre du PLFSS, ils n'ont rien à voir avec les décisions sociales prises par le Gouvernement en 2009. Le revenu de solidarité active, les allègements de l'impôt sur le revenu pour les tranches basses et le financement du chômage partiel, en particulier des ouvriers de l'industrie, afin de sécuriser les parcours professionnels, représentent plusieurs milliards, au prix d'un déficit aggravé. On ne peut donc pas nier que le Gouvernement ait consenti un effort social afin que la crise ne pèse pas trop sur les catégories sociales dont les revenus sont les plus faibles. (« Très juste ! » sur les bancs du groupe UMP.)
(L'amendement n° 327 deuxième rectification n'est pas adopté.)