Quel est le montant des investissements prévus dans les prochaines années pour procéder à l'enfouissement des lignes – en d'autres termes, combien de kilomètres par an comptez-vous enfouir – pour assurer la sécurité du réseau et restaurer nos paysages ?
Les problèmes de saturation liés aux heures de pointe sont réglés pour l'essentiel, dites-vous, par le recours à l'énergie hydraulique, mais quel est l'apport des centrales thermiques ? Peut-on en évaluer l'impact en termes de rejets de gaz à effets de serre ? À partir de quel niveau d'économies d'énergie pourrions-nous nous passer de ces centrales thermiques ? Quels investissements de substitution envisagez-vous dans les prochaines années ?
J'ai l'impression que nous manquons d'éléments qui nous auraient été très utiles lors du débat du projet de loi sur le Grenelle 2 qui nous sera prochainement présenté.