Aujourd'hui, le risque est que des groupes, éventuellement multinationaux, viennent acquérir les terres. Le marché de parts foncières que je propose ne serait qu'une bourse d'échanges, et dès lors que l'activité agricole ne me paraît pas susceptible de créer beaucoup de milliardaires, je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de risques de spéculation.
Parmi les autres sujets que nous aimerions voir traiter, il y a celui des rapports entre vin et société. Il y a aussi celui de la coopération, la réforme opérée dans le cadre de la dernière loi d'orientation agricole n'étant pas allée dans le sens que nous souhaitions. Il nous paraît nécessaire de clarifier la définition de la coopérative ; lorsque le chiffre d'affaires s'établit en milliards d'euros, il me semble que l'on ne peut plus parler de coopérative.