La crise économique globale remet doucement en cause le dogme de l'ouverture des marchés et du « laissez faire » généralisé au niveau mondial. La lutte contre les paradis fiscaux en est un exemple parmi d'autres.
Qu'en est-il de l'organisation des filières et de leur rationalisation ? Prenons l'exemple de la filière porcine où le taux d'organisation avoisine les quatre-vingt-treize pour cent : cela n'empêche pas le kilogramme de porc de se vendre à peine au prix d'une euro le kilo au cadran à Plérin !