Alors, je voudrais répondre à Éric Woerth. Je sais qu'il n'est pas une machine sans âme et qu'il a aussi des émotions, comme tout être humain. (Sourires.) Nous aussi, mais nous savons également être des législateurs raisonnables.
Cet amendement n'est pas démagogique, et de très nombreux parlementaires l'ont cosigné. Le sport business commence à écoeurer les Français. Il faut que les choses soient dites une fois pour toutes.
Cela étant, j'ai entendu les propositions de M. le rapporteur général, du président de la commission et de Mme le ministre. Je leur fais confiance pour que ce dossier puisse être étudié dans les meilleures conditions possibles. Mais ne vous méprenez pas sur notre volonté d'aboutir.
Je retire ces trois amendements.