C'est manifeste, monsieur Goasguen, si l'on se reporte à la rédaction du code général des impôts.
Nous étions convenus d'ouvrir le débat et d'approfondir la question au sein de la commission des finances, où nous avons la chance que siègent Jean-François Lamour, Marc Le Fur, qui a proposé cet amendement, et d'autres députés qui s'intéressent au sport, comme Henri Nayrou. Nous travaillerons en liaison avec le ministère du budget et le secrétariat d'État aux sports pour aboutir à une proposition, soit dans le collectif, soit dans un futur texte. Je souhaite donc que ces amendements soient retirés.
Il existe des situations choquantes. Mais aller aujourd'hui au-delà de ce constat me paraîtrait déraisonnable.