On peut ainsi se demander si l'ordre qui nous est proposé – réforme fiscale d'abord, réforme territoriale ensuite – est le bon. Pour ma part, je ne pense pas que cet ordre constitue un obstacle insurmontable, à la seule condition que la réforme fiscale dont nous parlons, pour partie, soit bien faite en fonction des perspectives de la réforme territoriale et qu'on sache, dès aujourd'hui, qui, demain, fera quoi, qui sera responsable de quoi et qui le fera avec quoi.