Madame la ministre, votre prise de position me fait sourire amèrement. Voilà une heure, on a vu comme le travail d'une dizaine de mois des parlementaires, fût-il approfondi, consensuel et porté par la commission des finances, ne pèse pas grand-chose face aux injonctions de Mme Parisot. On ne va pas se fâcher si vous nous dites que vous êtes défavorable à notre sous-amendement, mais nous allons le défendre.
Le rapporteur général a indiqué que l'une des causes du retrait de celui de notre collègue Laffineur était le manque de simulations. Nous vous proposons précisément de travailler ensemble sur un rapport qui nous permettrait de ne pas nous retrouver dans la même situation…