Pour une entreprise, 3 % de la valeur ajoutée, ce n'est pas rien.
La réforme que nous avons votée voici quelques années a consisté à ramener toutes les entreprises à 3,5 %. En abaissant de 3,5 % à 3 %, nous envoyons un signal clair aux entreprises. Le jour où nos finances publiques seront florissantes, nous pourrons envisager de descendre de 3,5 % à 2,5 %.