Je souhaite d'abord rendre hommage à votre talent de pédagogue, monsieur le rapporteur général, et à l'esprit très constructif qui a prévalu lors des travaux préparatoires à cette réforme, réforme difficile s'il en est, car touchant de nombreux pans de la fiscalité locale et de celle des entreprises. Nous tendons tous à la perfection, sans jamais l'atteindre. Le Gouvernement pas plus que vous, monsieur Carrez, ne prétend y arriver, mais, avec vous, nous essaierons de nous en rapprocher le plus possible.
Je me livrerai d'abord au petit jeu des ressemblances entre nos deux textes, monsieur le rapporteur général, le volumineux article 2 et votre amendement qui ne l'est pas moins.