Mon groupe joint sa voix à celle de M. de Courson.
S'agissant de ces sous-amendements, dont le Gouvernement a pris connaissance depuis longtemps, nous ne devrions pas nous heurter à la même ignorance que pour ceux relatifs aux banques et aux assurances. J'attends avec impatience le chiffre que le Gouvernement fournira pour justifier le maintien d'un taux de 1 % alors que nous jugeons, comme nos collègues du Nouveau Centre, qu'un taux de 0,5 % serait largement suffisant.