Peser dans les affaires du monde, cela implique d'avoir des politiques industrielle, de sécurité, énergétique et d'immigration communes – une politique d'immigration commune, ce n'est pas une honte, monsieur Asensi. Évidemment, tout cela a un coût. Il s'établit aujourd'hui autour de 1 % du PNB global de l'Union. Faut-il aller au-delà ? Que faut-il conserver : agriculture, haute technologie, défense, sécurité ? Et quelle est la clé de répartition ? Tels sont les enjeux.
Je vous ai fait, ce soir, le point de façon très lucide et très honnête, sur ce que cela nous coûte et nous rapporte.