Je terminerai d'une phrase, monsieur le président : ce dont les entreprises ont avant tout besoin, ce n'est pas d'exonérations, mais de carnets de commande remplis. Or la politique du Gouvernement les tarit. Lorsqu'ils sont pleins, l'activité fonctionne et le paiement de l'impôt, loin d'être un problème, est un devoir.