Éric Woerth, ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'état :
Nous y sommes quasiment, monsieur Mathis. Si l'on soustrait les pensions, qui augmentent naturellement, et la progression de la charge de la dette, alors nous sommes à « zéro-valeur » sur l'ensemble des autres dépenses de l'État.