Nous avons refusé d'en faire des députés à part, élus dans des conditions différentes, avec le risque qu'ils ne soient pas considérés comme des députés ayant le même statut que les autres. Et nous avons aussi voulu que leurs électeurs, ces Français qui sont installés dans d'autres pays mais qui restent profondément attachés à la France, puissent s'identifier à leur député, qu'ils le connaissent, qu'ils puissent, le cas échéant, faire appel à lui, bref, qu'ils aient un député qui les représente véritablement.
J'observe d'ailleurs que personne ne porte de critiques sur les sénateurs représentant les Français de l'étranger.