C'est une divergence avec votre formation politique, monsieur Lecoq, même si j'ai compris hier que M. Asensi n'en voulait pas non plus à 100 %. Quant à nous, si nous n'en voulons pas, c'est parce que la proportionnelle rompt totalement le lien entre le député et l'électeur et ne permet pas de dégager une majorité stable pour gouverner le pays à partir de l'Assemblée nationale.