Monsieur le ministre, la première question qui vient spontanément à l'esprit en ces temps de crise économique et sociale est pourquoi un tel empressement à ouvrir le secteur des jeux et paris à la concurrence ? À vous entendre, il fallait répondre à de prétendues pressions européennes ; or aucun texte européen n'impose la libéralisation que vous avez décidée.