Tout le monde est d'accord pour privilégier le dialogue, mais en écartant les questions d'argent. Le conflit d'intérêts naît si l'on conditionne l'accord à un accord financier entre fédérations et opérateurs. Je reste convaincu que la dimension financière doit rester en dehors ainsi que cela ressort du code des paris sportifs en Europe.
J'espère qu'une partie au moins de ce problème sera résolue avec l'amendement de Jean-François Lamour. Je rappelle que si Mme la ministre des sports a émis un avis négatif sur l'alinéa 9, il y avait bien une raison.
Je me réjouis donc que nous débattions, car, en commission, cela ne posait apparemment pas de problème. Tel n'est plus le cas, puisque l'amendement de Jean-François Lamour limite le champ à la question du droit aux paris, ce qui est une bonne nouvelle, mais nous devons alors évoluer en la matière.