…n'a pas marqué ce projet de loi, dont nous aurions pourtant pu discuter bien en amont. Pourquoi voter une loi aujourd'hui, si nous devons y revenir dans dix-huit mois ?
Certes, il faut saluer le fait que, pour une fois, l'Union européenne n'emploie pas un terme technocratique – chez nous, dans le Dunkerquois, on dit « a noste kêe », « à la revoyure » –, mais quelles seront les modalités de cette revoyure dans dix-huit mois pour les parlementaires que nous sommes ?