Madame Fourneyron, le frontal déjà établi sur le sol français – et non métropolitain, nous y reviendrons – permet à l'ARJEL de collecter en temps réel toutes les informations sur les flux financiers ou les types de pari générés, garantissant ainsi une véritable sécurité.
Je vous propose donc de retirer vos amendements, qui sont satisfaits par ce système – à défaut de l'être par le dispositif tout entier qui, par nature, puisqu'il s'agit d'internet, peut être établi dans un autre pays de l'Union.
Nous aurions pu choisir de nous inspirer du modèle de l'AMS – équivalent italien de l'ARJEL –, qui centralise toutes les données ; mais il correspond à un dispositif qui collecte également tous les « bandits manchots » sur le territoire – c'était indispensable compte tenu du grand nombre de tricheries. Nous avons fait un autre choix, auquel correspond une autre technologie : l'établissement sur le sol français d'un frontal permettant de recueillir ces informations, et qui offre toute sécurité.