…une économie qui prospérerait sur le hasard et la dépendance, et non sur le travail et la culture.
Où sont donc l'épanouissement individuel et l'émancipation de l'individu ? Où est la moralisation du capitalisme, dont il nous a semblé que l'écho résonnait il y a peu dans cet hémicycle ? Pas dans ce texte-ci en tout cas.
Ce soir, vous nous plongez dans le magma des intérêts financiers de ceux, toujours les mêmes, qui feront fortune de la misère et de la désespérance d'autrui.