Nous aurions cédé à la pression du pouvoir de l'argent. Vous jetez ces arguments à la figure des gens : drôle d'état d'esprit que le vôtre ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) À vous de l'assumer !
En fait, cela fait deux ans, monsieur Gorce, que nous travaillons très sereinement sur ce sujet et que ce texte attend depuis huit mois sa place dans la file d'attente des projets de loi qui doivent être examinés par votre assemblée. Il arrive à point nommé, car nous voulons régler le problème – mais on peut aussi décider de ne pas le faire : ne pas voir, ne pas entendre, c'est très pratique !