Permettez-moi, monsieur le président, de réagir aux propos excessifs, voire outranciers, de M. Gorce.
S'agissant du calendrier – vous vous êtes exprimé dans la presse, avant de le faire à cette tribune –, vous avez posé la question de savoir pourquoi nous examinions en priorité, dans la précipitation, un projet de loi sur les jeux en ligne. Vous dénoncez la pression de lobbies.