Il n'en est rien, puisqu'il vient de dire que c'était accessoire. Je croyais pour ma part, restant fidèle à La Fontaine, que c'était « intérêt et principal », et que, pour vous, il était essentiel de protéger les intérêts de la Française des Jeux et du PMU, qui sont sous le contrôle de l'État. En l'occurrence, vous ouvrez la porte à un secteur où il n'y a aucune éthique. Je ne veux pas revenir au débat sur l'HADOPI, mais nous avons suffisamment démontré, au cours de longues discussions dans cet hémicycle, que les velléités de contrôle sont, hélas, trop illusoires pour penser qu'un texte, si excellente que soit son élaboration, constitue une arme absolue, surtout dans une matière aussi délicate où l'addiction du malade qui joue est le principal allié du truand !