Il s'agirait d'une révolution, d'une mauvaise révolution. Cela constituerait une rupture et cette rupture, je le répète, serait catastrophique.
Ainsi que M. Chassaigne l'a souligné, des systèmes mafieux vont apparaître, comme dans d'autres pays. Nous en parlions à l'instant avec Valérie Fourneyron : des matchs de tennis – discipline que le futur président de l'ARJEL connaît bien – ou, en Belgique, de football ont déjà été concernés.
Qu'y a-t-il de plus beau que la mutualisation, qu'il s'agisse de retraites ou de gains ? Efforçons-nous de préserver ce principe. Quand un opérateur, un faucon maltais, luttera contre un parieur, celui-ci perdra assez rapidement beaucoup d'argent. C'est une question de morale. Vous êtes en train d'introduire en France une révolution qui entraînera des scandales au cours des années à venir ; le phénomène devrait être assez rapide et important.