Or nous atteignons à peine 0,2 %. Ce n'était pas une promesse anodine : elle avait suscité beaucoup d'espoir chez les sportifs, les bénévoles, les agents du ministère, les pratiquants... Une fois de plus on a communiqué, affiché et provoqué de la souffrance en abandonnant des engagements qui avaient pourtant du sens dans ce milieu. Aujourd'hui, on bricole et le financement du sport n'a aucune lisibilité ni aucune cohérence, ce texte se révélant particulièrement emblématique en la matière.
Enfin, troisième point, je souhaite aborder la question de l'article 52 qui renforce le droit de propriété des fédérations sur les compétitions qu'elles organisent – un droit déjà en vigueur mais qui méritait d'être conforté.