J'en profite d'ailleurs, monsieur le ministre, pour vous dire qu'au-delà du débat bien légitime sur un tel texte, et même au-delà de la polémique, je regrette, comme Michèle Delaunay, les propos que vous avez tenus à l'encontre d'Aurélie Filipetti après la présentation de la motion. Je les ai pour ma part jugés déplacés, et je ne suis pas le seul dans ce cas. Je vous le dis calmement, tout simplement pour vous rappeler que la courtoisie à l'égard des différents orateurs aurait pu vous imposer plus de mesure dans la réponse que vous lui avez faite.