Il y a tout de même quelque chose qui me gêne dans la rédaction proposée par M. Garraud.
Si l'on s'en tenait au premier cas, à savoir si la personnalité des intéressés justifie, dans leur intérêt, qu'ils ne soient pas laissés seuls, sans y ajouter le second, ce serait déjà une avancée, mais le placement en cellule individuelle pourra aussi être refusé s'ils ont été autorisés à travailler ou à suivre une formation professionnelle ou scolaire et que les nécessités d'organisation l'imposent. Comme il ne pourra y avoir d'enseignement individualisé, question que l'on examinera dans un article suivant, on ne pourra accepter leur demande.
J'entends bien les arguments que vous développez mais ce 2° montre à quel point vous êtes coincée, et vous trouvez des arguments pour essayer de vous dégager de la seringue.