Je ne voulais pas reprendre la parole, car je crois avoir exposé mes arguments. Toutefois je tiens à dire à M. Mamère, auquel je n'ai pas pu répondre dans la discussion de l'amendement précédent, que oui, je revendique, non pas une obsession sécuritaire, mais l'obsession permanente de la sécurité des Français, parce que, oui, la sécurité est la première des libertés.